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Caméléons, 2000
 
 
 
 
A propos de cette série  
 
16 peintures sur toile, inspirées des facultés d'apparition / disparition du caméléon, et des mutations, transformations, immersions, confusions, etc. que cela suppose.
 
 
 
Ce qu'en dit Micheline LO  
 
Faire en même temps apparaître et disparaître est un des buts les plus constants du peintre. Comment immerger le caméléon dans son milieu sans l'y perdre ?

Un jeu exigeant de kaléidoscope, et de battement visuel. Un travail sur la forme et le fond, qui se relancent l'un l'autre.
 
 
 
Ce qu'en dit Henri VAN LIER  
 
Autant Mousiqa est l'au-delà de toute peinture, autant les Caméléons sont l'objet naturel de cette peinture-ci. Ils sont la transformation, la (re)séquenciation, les ultrastructures, la rencontre d'un milieu extérieur et d'un milieu intérieur, les interfaces dedans/dehors comme points focaux de l'individuation, la confusion entre perçu et percevant, la perception non du dehors, comme simple découpe, mais du dedans. Le spectateur contemplateur qui voudrait continuer de rester devant l'œuvre, est d'avance dedans, polytopique. Les familiers de l'œuvre ont souvent dit que, s'il fallait résumer cette peinture en une image, c'est un Caméléon qu'on pourrait retenir.